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TOP 12 choses que j’ai apprises dans le monde des magazines

Et, Comment cela peut vous aider aujourd’hui.

J’étais au début de la vingtaine.  Je ne savais pas grand-chose sur les affaires, sauf que j’adorais les  magazines.  Je venais de travailler dans une agence de publicité internationale.  Je cherchais quelque chose de plus stable, plus humain. Quand une agence gagne un contrat elle embauche, quand elle perd un compte tout le monde est viré !  J’ai adoré le côté générateur d’idées des agences, le côté rêveur, mais le reste ce n’était pas moi.

Je savais que j’aimais la communication, toutes sortes de communications : remue-méninges pour trouver des idées, promotion de produits, relations publiques : penser à des angles qui donneraient envie aux médias d’inviter nos éditeurs à leurs émissions de télévision et négocier les entrevues et encadrer les éditeurs et les journalistes afin qu’ils excellent en ondes. 

Le monde du magazine a beaucoup changé.  Mais, ce que j’ai appris je l’utilise encore.  C’était la meilleure école pour moi.   Elle a construit mes bases en tant qu’experte en communication, devenant même presqu’accro aux communications.  Aujourd’hui je me spécialise à trouver le message de 2 minutes et l’histoire qui accrochera le prochain clients des entrepreneurs que je sers.

Voici ce que je sais:

1. Mettez ce que vous avez de mieux sur la couverture:

Là où tout le monde peut le voir.  Mon père entrepreneur disait : « Si vous voulez vendre quelque chose, mettez-le dans la vitrine pour que tout le monde puisse le voir, ne le gardez pas dans l’arrière-boutique »    Aujourd’hui, les meilleurs médias sont sur le web, exposez vos produits avec de belles photos, vidéos et du bon contenu!

2. Innovez, ne suivez pas:

Le slogan du magazine de mode pour lequel j’ai travaillé était « Osez».  On a toujours été à l’avant-garde.  La preuve : Nous avons été les premiers à avoir un ruban rose pour le cancer sur la couverture, nous avons eu un spécial « sexe » dans une enveloppe brune qui disait : « Confidentiel », …Toujours  fait  avec goût, et avec classe. Si vous voulez attirer l’attention, vous devez oser être différent, prendre une chance, vous démarquer.

3.  Le succès n’est pas éternel:

Quand un magazine était « sold out », on sautait de joie, on était tellement excités, mais on devait quand même travailler sur le prochain.  Les lecteurs et les annonceurs devaient être conquis à chaque nouvelle publication, donc tous les trois semaines!

4. Le succès est rarement un produit d’une seule personne:

Oui, même si le capitaine a une vision incroyable, qui peut paraitre folle, c’est grâce à toute une équipe qui travaille dans l’ombre pour concrétiser cette vision qu’on arrive au succès.

 Dans le cas d’une publication, il y aura : les graphistes, les photographes, les journalistes et chroniqueurs,  les correcteurs, l’équipe de promotion et de relations publiques …Comme au cinéma, quand on  gagne un Oscar, c’est habituellement le produit de nombreuses personnes passionnées. Si vous travaillez seul faites des remues méninges avec d’autres entrepreneurs ou engagé des experts pour vous épauler.

5. Si vous échouez, apprenez et passez vite à autre chose:

Si les succès sont nombreux il ne faut pas oublier qu’il y aura aussi des coups durs.   Apprenez, mais n’oubliez jamais!

6. La Compétition c’est bon:

On vérifiait toujours ce que faisait nos compétiteurs.  Je crois sincèrement que si nous n’avions pas eu de concurrence, nous n’aurions pas travaillé aussi fort.  Nous voulions être les premiers.  Pas toujours bon de se comparer, mais parfois c’est nécessaire pour se rendre à destination plus rapidement! Ayez toujours une longueur d’avance!

7. Les « stars » attirent l’attention et aident à vendre:

Ce n’est un secret pour personne; mais quand une vedette internationale en couverture est un gage de succès.  Encore aujourd’hui, il est bon une personnalité ou un influenceur qui parle de vous  ou  de votre  produit.  Les gens se disent : « Elle aime ça, ça doit être bon cette marque!» et  ils achètent  ! Les influenceurs sont les nouvelles vedettes d’aujourd’hui.  Demandez-leur d’utiliser vos produits et d’en parler sur les réseaux sociaux.

8. Vous avez besoin de plus d’un média qui parle de vous:

Quand je négociais des entrevues avec différents médias, j’avais une liste de plus de 20 émissions de télévision, radio et imprimés à appeler.   Si nous voulions être visible, j’avais besoin de faire tous ces appels téléphoniques et obtenir de nombreux résultats positifs!     Vous ne savez pas qui va dire oui, alors vous devez ratisser large.  Lorsque vous voulez être vu sur les médias sociaux, vous devez être dans plus d’une plate-formes si vous le pouvez et beaucoup plus d’une  fois.

9. Le contenu est roi:

La couverture annonçait ce qu’il y avait à l’intérieur de la publication.  Le contenu devait être à la hauteur, sinon, les  gens  cessaient   d’acheter.   Si vous utilisez les réseaux sociaux ou la vidéo, assurez-vous que le contenu a de la valeur  pour votre audience.

10. Écoutez:

Nous avons fait des sondages et lu ce que les lecteurs nous écrivaient, et les avons considérés dans chaque numéro. Si vous n’attachez pas d’importance à votre audience, elle disparaîtra!  Les gens veulent savoir qu’ils sont importants.  Si vous faites une vidéo, ne parlez pas seulement de vous, mais plutôt de ce qui est important pour votre public.

11. Sachez pourquoi vous avez commencé et ne l’oubliez jamais:

Le magazine sur lequel je travaillais était un magazine de mode qui osait. Chaque fois que nous hésitions à faire quelque chose de « grand », nous nous souvenions pourquoi nous avions  commencé, quel était notre message.   Avant de faire votre site Web, votre image de marque ou de travailler sur votre visibilité, assurez-vous de savoir clairement pourquoi vous avez commencé, parce que souvent le long du chemin, nous oublions.

12. Quand la routine s’installe, passez à autre chose:

J’ai eu tellement de plaisir à travailler dans le domaine des magazines.  J’ai travaillé sur la promotion, les relations publiques, l’organisation d’événements et le lancement de magazines.  J’ai tellement appris, mais au fil du temps, je suis tombée dans une routine, je n’avais plus de plaisir.  Je suis partie car j’avais envie d’attaquer de nouveaux défis.  J’ai décidé de partir à mon compte.  J’adore travailler avec les petites entreprises, les entrepreneurs et les solopreneurs pour trouver leur essence et les voir passer de l’agneau au lion!  Quand vous n’avez plus de défi changez d’air!

Je voulais partager mon apprentissage parce que cette expérience est toujours vivante  en moi.  Quand je travaille avec un client, quand je le « coache » pour trouver son essence et faire son vidéo, encore aujourd’hui j’applique ces mêmes règles.  Ce sont ces même règles qui se répètent tous les jours dans le monde des communications et du marketing.

Si vous avez besoin d’aide avec votre marketing de base:  trouver  votre  essence, produire   vos  vidéos et trouver votre « pitch d’ascenseur» et ce message de 2 minutes  qui  attirera vos  prochains clients, communiquez avec moi!

Liz

Secret d’Entrepreneur à Succès

Avant février 2020, je saluais mon mari, comme tout le monde, le matin et le soir, donc je n’avais pas la chance de le voir en action. 

Maintenant qu’il est devant moi, en direct, 24 heures sur 24, dans le même bureau, j’ai une vitrine sur une autre entreprise que la mienne.  Je peux le voir passer à travers plusieurs émotions en 1 seule journée.  Il est seul à son ordinateur mais il est rarement « seul ».  Vive Zoom !  Bon temps, mauvais temps il est en contact constant avec son équipe.

En l’observant, il m’est devenu évident qu’il y a une énergie, une synergie, une force qui émane à travers une bonne équipe.  Quand des gens travaillent avec un même objectif pour atteindre le succès, ils sont plus solides, plus forts, plus efficaces que s’ils travaillaient seuls.

Qu’on soit 400 employés à travers le globe ou 2 employés, la règle est la même.  Il faut savoir s’entourer de gens qui ont les mêmes valeurs, qui ont à cœur la réussite de l’entreprise et la passion!

Quand on est entrepreneur, on pense qu’il faut tout faire soi-même. 

La vérité, c’est qu’on est rarement bon dans tout.  Disney était incroyable en dessin, raconter des histoires et avait une vision étonnante pour le futur, mais il était vraiment mauvais à la comptabilité et les affaires, Dieu merci, il avait son frère aîné Roy.  John F Kennedy, avait son frère Robert, son assistant Kenneth Patrick O’Donnell et un groupe de conseillers proches appelé sa « mafia irlandaise ».  Oprah Winfrey  n’a pas dirigé une émission ou un réseau de télévision seule,  mais avec son assistante exécutive Joan Kim et toute son équipe.   Céline avait René. Mandy de « Mandy’s Salad » (mon restau préféré à Montréal) travaille avec sa sœur Rebecca.

Nous pensons souvent qu’il y a une telle chose comme un « homme fort » ou une « femme forte ».    Je crois que nous sommes aussi forts que notre système de soutien.  Dans de nombreux cas, nous pensons que cet homme est fort, mais c’est parce que son allié ou associé n’a tout simplement pas envie d’attention et est maintenu dans l’obscurité.

Qui peut faire partie de votre système de support?  Parfois, c’est un partenaire, parfois c’est un coach, d’autres fois c’est un assistant efficace, mais c’est toujours quelqu’un qui a votre intérêt en premier plan, avec une distance saine qui vous aide à faire les bons choix.

Si vous avez besoin d’aide, demandez.  Nous vivons dans un monde si avancé technologiquement que vous pouvez trouver l’expert parfait à un clic.  Utilise-le.  Profitez-en.  Demandez dans les  groupes facebook  ou les groupes LinkedIn.   Devenez membre d’une chambre de commerce (de votre région), ou d’une cellule RFAQ (Réseau des femmes d’affaires du Québec) ou d’un chapitre BNI (Business Networking International).  Vous serez étonné de voir comment les gens aiment aider.  Surtout en ces temps difficiles.

La vie d’affaires n’est pas si différente de la vie quotidienne.  Pour être heureux dans la vie, vous avez besoin d’un bon système de soutien.  Une femme, un mari, un parent, des enfants, un bon ami, un frère, une sœur, un voisin amical, …  Juste quelqu’un avec qui vous pouvez parler, quelqu’un qui croit en vous sans jugement et qui possiblement apportera une bonne oreille ou des solutions.

Batman avait Alfred & Robin.  Superman avait Lois Lane.  Rafael Nadal avait Toni Nadal.  Obama avait Michelle & Joe.  Kennedy ne faisait pas exception, il avait ses frères et de nombreux collaborateurs.

Qui avez-vous ?

Nous sommes vraiment plus forts ensemble.

Si vous avez besoin d’aide avec votre message, votre histoire, vos vidéos, la base de votre marketing, envoyez-moi un mot, il me fera plaisir de vous guider.

Si vous avez besoin d’aide pour votre site web, vos réseaux sociaux, votre graphisme, vos chiffres de ventes, ou votre comptabilité, je ne suis assurément pas la bonne personne mais je peux vous référer à un expert ou un collègue qui excelle dans le domaine.

Ne restez pas seul.

Attention à vous,

LiZ

Kit de survie: Martine Lafontaine: Vivre son deuil

Kit de survie: Martine Lafontaine: Vivre son deuil
Vous sentez-vous “eurk” en dedans?
Saviez-vous qu’on vit tous un deuil collectif, deuil d’une vie “différente”. Possiblement en plus le deuil d’un parent décédé il y a quelques jours ou quelques années! Etes-vous du 90% des gens qui vivent un deuil non résolu? Martine Lafontaine est thérapeute et se spécialise dans le deuil. Vous avez besoin d’aide? de trucs? d’inspiration? Écoutez Martine attentivement, elle vous fera du bien. Merci Martine. Pour plus d’info: Réflexions du Coeur

Etre Humain: Jean Marie Lapointe

Etre Humain: Jean Marie Lapointe

Il est comédien, conférencier, auteur, cinéaste, animateur mais il est surtout HUMAIN, authentique, courageux, vrai!
Dans cet ouragan, cette tempête humaine mondial, il fait du bien.
Pendant que nous fermons les yeux sur tout ce qui est difficile, il a les yeux et le coeur grands ouverts. Comme dans son émission “Face à la rue” ou il nous présente des itinérants et leurs histoires. Il accompagne les enfants et ados en phase terminale du cancer.
Il est pour moi un petit buddha québécois!
Écoutez, il vous donnera ces 3 trucs et peut-être même un petit peu plus de sagesse!
Merci Jean-Marie Lapointe

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Les raisons de vivre de mon père? Intégrité, affaires et descendance

Intégrité : qualité qui distingue une personne honnête, possédant de solides principes moraux.

Mon père était un homme passionné. Il avait une passion sans borne pour sa famille, son entreprise et ses amis. Pourquoi? Parce que son objectif de vie était clair : venger son père en faisant sa marque en affaires et être le meilleur père qui soit du monde.

Voici donc l’histoire de mon père, de ce qui l’a façonné et qui a aussi fait de moi la personne que je suis aujourd’hui.

Né en 1918, il aurait eu 100 ans en novembre.

Mon père était très protecteur. Sans doute parce que très jeune, à l’âge de 17 ans, on a enlevé à sa famille ce qu’il avait de plus précieux : son père, emporté par un cancer de la gorge à 52 ans. Mon père était très proche de Henri, son père à lui.

Henri était un entrepreneur, un avant-gardiste. L’intégrité et la passion étaient ses plus grandes qualités. Il a fondé la Peladeau Lumber, son entreprise bien à lui.

Dans les années 1920, alors que tous les Canadiens français quittaient la province pour chercher du travail, Henri a décidé de retrousser ses manches. À une époque où le monde des affaires était chasse gardée des Anglais, un Canadien-français appelé Henri défonçait des portes de l’entrepreneuriat au Québec!

Il a fait venir d’Allemagne une machine conçue pour accélérer le processus de production. Faire des affaires avec l’Allemagne était rare en 1920. C’était loin.

Fils de cultivateur, il s’était bâti tout seul. Son dur labeur lui avait profité et maintenant il avait une compagnie bien reconnue au Québec et au Canada.

Henri a laissé sa marque. Il allait à la messe tous les soirs, savait convaincre mieux que personne et travaillait fort pour supporter sa famille de 7 enfants. Homme intègre, il n’avait qu’un défaut : il croyait que tout le monde était aussi intègre et honorable que lui.

Pourtant, sa femme Elmire lui avait bien dit : « En affaires, pas d’amis. » Malgré cela, il a fait des affaires avec deux personnes qu’ils croyaient être ses amis. Et il a tout perdu.

Peu de temps après, il fut emporté par un cancer de la gorge.

Mon père a énormément souffert de perdre l’homme qu’il admirait, qu’il respectait et qu’il considérait comme un véritable ami.

Henri était un homme généreux qui se plaisait à acheter de la crème glacée aux enfants du quartier, pendant que sa femme, à la maison attendait qu’il rentre avec l’épicerie qu’elle lui avait demandée pour le souper! Aux yeux de mon père, Henri était le modèle à suivre. Un homme intègre, un bon père et un homme d’affaires aguerri.

Lorsqu’Henri est décédé, ses prétendus « amis » ont disparu comme par magie. Or, quand mon grand-père était prospère et en bonne santé, il était très populaire et entouré de gens qui disaient être ses amis. Et quand il a perdu son entreprise et a reçu un diagnostic de cancer, c’est comme si tous ces gens autour de lui croyaient que les malheurs qui le frappaient étaient contagieux – tout son réseau s’est envolé.

Malheureusement, le cancer et la pauvreté peuvent faire ressortir le meilleur et le pire chez bien des gens.

Cet épisode marquant a forgé le caractère de mon père – si bien que par la suite, il est devenu très prudent avant de s’associer à qui que ce soit et n’a jamais accordé de temps aux gens superficiels.

Mon père m’a dit un jour : « Le plus bel héritage est celui que tu ne reçois pas, car il te donne la motivation nécessaire pour travailler à récupérer tout ce que tu as perdu. »

La maison d’Outremont, le chalet au bord de l’eau à Saint-Eustache, son entreprise et, surtout, son nom : mon grand-père avait tout perdu, sauf l’amour et l’admiration de son fils.

Mon père a amorcé très tôt le plan qui allait lui permettre de venger son père. Il a suivi les traces de son père, en empruntant lui aussi la voie de l’entrepreneuriat. Mobilisé lors de la Deuxième Guerre, il a profité de son séjour en Angleterre pour étudier en comptabilité afin de bien comprendre les rouages du monde des finances et de s’assurer que personne ne le roule. Il a ensuite suivi des cours par correspondance pour tout savoir sur le bois – c’était bien avant le temps de la formation par Internet!

Par la suite, il est entré à l’emploi d’une entreprise concurrente – il y travaillait pratiquement jour et nuit. Petit à petit, il y a gravi tous les échelons, pour finalement occuper le fauteuil de vice-président. Son ardeur au travail l’a toutefois mené à l’hôpital, terrassé par une crise cardiaque et complètement épuisé. Et quand le médecin lui ordonna de prendre un peu de repos – coup de théâtre! – mon père décide que le moment est idéal pour mettre sur pied sa propre entreprise. Tout cela, bien sûr, contre l’avis du médecin… et de ma mère!

La priorité de papa était de mettre en œuvre son plan – si bien que ma mère a dû attendre 6 ans avant qu’il la demande en mariage. Mais il a atteint son objectif : bâtir une entreprise en partant à zéro et redonner à son père l’honneur perdu. Il a acquis ses lettres de noblesse dans le domaine du bois et son entreprise a prospéré, tout simplement parce qu’elle reposait sur une base solide : l’intégrité!

À 86 ans, après une vie où il a pu s’accomplir comme il le souhaitait et vivre heureux, mon père nous a quittés pour rejoindre Henri. Son entreprise continue de prospérer, même après plus de 60 ans et repose encore aujourd’hui sur les mêmes valeurs d’engagement et d’intégrité.

La raison d’être de mon père? Bâtir une entreprise et mener une vie qui aurait fait la fierté de son père, tant pour la réussite de sa famille que de ses affaires ou de sa vie entière.

Il voulait plus que tout au monde finir l’œuvre de son père et comme lui, il voulait être un bon père et un entrepreneur intègre, ce qu’il a accompli.

Maintenant, 100 ans après sa naissance, son héritage demeure bien vivant. Sa raison d’être est toujours présente chez Bois Péladeau, dans ma famille, dans ma vie. Son associé dans Bois Péladeau, maintenant âgé de 88 ans, se rend encore chaque matin au bureau, tout simplement parce qu’il est heureux de ce qu’il a bâti avec mon père… et qu’il tient à bâtir l’avenir en compagnie de son fils.

Dans ma propre entreprise, je garde l’héritage fort, m’entourant avec des gens à l’image de mon père: authentique et intègre.  Mon père a souvent été décrit comme le lion de la famille, et j’ai même insufflé cela dans mon entreprise.  Le Lion résonne avec courage et intégrité, les pierres angulaires de Lionzest.  C’est l’héritage de mon grand-père et à mes yeux, c’est le meilleur et le plus riche héritage qui soit!

C’est pourquoi, avant chaque vidéo (puisque la caméra ne ment pas) je demande à mes clients d’être farouchement authentique. Cette authenticité est ce que je trouve le plus attrayant dans les affaires et dans la vie, et c’est ce qui résonne avec vos clients.

Quel est votre “pourquoi”? Ne vous inquiétez pas si ce n’est pas clair. C’est là que j’interviens. Contactez-moi aujourd’hui. Ensemble, nous allons découvrir votre “pourquoi” et vous faire briller!

Merci papa, merci grand-papa… et bonne fête des Pères où que vous soyez!

 

Quelle est votre histoire?

Pourquoi les histoires sont-elles si importantes?

Quand on était enfant, qu’est-ce qu’on voulait entendre avant de s’endormir? Qu’est-ce qui nous aidait le plus à comprendre quelque chose? Une histoire!

Pourquoi serait-ce différent maintenant que nous avons grandi? Je crois que la plupart des gens ne veulent pas grandir et qu’au plus profond de nous se cache toujours cet enfant qui raffole des bonnes histoires.

Une bonne histoire est captivante et engageante. Elle nous transporte dans un univers qui nous laisse explorer de nouvelles aventures et possibilités grâce à notre imagination.

Lorsqu’on vous demande ce que vous faites dans la vie, ce qu’on veut vraiment savoir c’est quelle est votre histoire.

On voudrait savoir où vous avez étudié, ce que vous faites de 9 à 5, où vous habitez, si vous êtes marié, quels sont vos intérêts et vos passe-temps.

Tout cela se traduit par : « racontez-moi une histoire ».

Les histoires nous aident à faire connaissance, à nous comprendre et à établir des repères. C’est une façon de répondre à des questions que nous ne pouvons pas vraiment poser directement. Des questions comme: « Quelles sont vos valeurs? Avons-nous quelque chose en commun? Puis-je me reconnaître en vous? Est-ce que je veux être votre ami et encourager votre entreprise? Puis-je vous faire confiance? »

Raconter des histoires, c’est dans de la nature de l’être humain! Depuis le début des temps, bien avant que l’écriture (et les vidéos :p) n’existent, les gens se racontaient des histoires.

C’est notre façon de connecter.  

On a tous un début, un développement et une fin. L’histoire d’une vie. Quand on connait l’histoire d’une personne, on connecte avec elle. On comprend cette personne et un lien spécial se crée.

Lorsque vient le temps d’acheter un produit ou un service, vous sentez-vous mieux lorsque vous connaissez l’entreprise, la marque ou même le propriétaire? Seriez-vous à l’aise d’acheter d’une entreprise dont vous ne connaissez rien? À moins d’être un robot, la réponse est probablement non!

Combien de fois vous arrive-t-il de rencontrer quelqu’un et de vous demander quelle est son histoire? Vous vous fabriquez sûrement une histoire inventée si elle ne vous la raconte pas tout de suite. C’est ça le pouvoir d’une histoire! Mais encore, on veut connaître la véritable histoire. On veut savoir si on doit investir notre temps avec cette personne ou non. On veut savoir ce qu’on a en commun avec elle, si on peut lui faire confiance et si cette personne peut nous comprendre!

Être en affaires c’est ultimement bâtir des relations. Ces relations commencent avec une histoire. Votre marché, vos clients, et même vos partenaires veulent connaître votre histoire, car cette histoire définit votre identité. Elle permet de dire si vous êtes sur la même longueur d’onde en affaires et dans la vie. Elle permet aussi de savoir si vous comprenez leurs besoins ou ce qu’ils recherchent. Votre histoire raconte aussi si vous êtes digne de confiance.

Une histoire est le meilleur moyen de vous faire connaître et permet aux gens de décider s’ils veulent entrer en relation avec vous.

Voici un bel exemple:

J’ai récemment rencontré un homme d’affaires au Viêtnam (appelons-le Monsieur Liem). Un de mes amis à Montréal entretient des relations d’affaires avec lui depuis 3 ans, mais à cause de la distance, il ne l’a pas rencontré très souvent face à face. Alors, pour faciliter certains processus d’affaires, mon ami a décidé de lui rendre visite.

Puisque j’étais au Viêtnam avec mon ami, Monsieur Liem a insisté pour qu’il m’invite à leur souper. Il nous a alors raconté son enfance difficile durant la guerre alors qu’il n’avait rien à manger. Son histoire racontait aussi comment son village avait disparu et comment il planifiait en construire un nouveau au bord de l’océan. Il nous a même invités à venir le visiter en 2020. Et voilà, juste comme ça, nous faisions partie de son histoire!

Il nous a aussi raconté qu’il aurait aimé devenir avocat et artiste, mais que la vie l’avait amené à devenir entrepreneur. On a écouté de façon enthousiaste l’histoire de son entreprise qu’il a bâti avec seulement 5 employés il y a 20 ans déjà et qui emploie maintenant plus de 2000 employés servant des clients à travers le monde. Il était aussi très heureux que son fils fasse désormais partie de son entreprise.

Quelle belle histoire de réussite!

Monsieur Liem est captivant et sans aucun doute très charmant. Mais ce qui m’a vraiment séduite, c’est son histoire.

Son histoire porte son humanité et elle nous a permis de pouvoir visualiser sa vie à travers notre esprit. Nous avons pu mieux comprendre son caractère, sa force et son entreprise.

Ce fut seulement un court souper, mais nous avons tout de suite su que nous partagions des valeurs similaires et que nous étions sur la même longueur d’onde. Mon ami était encore plus excité d’aller visiter son entreprise le lendemain.

En partageant son histoire, gratuitement et avec authenticité, nous sentions qu’il s’ouvrait à nous. Nous avons connecté. Et je voulais même faire affaire avec lui!

Durant ma carrière, j’ai rencontré plusieurs entrepreneurs et propriétaires d’entreprise. Ils ne sont pas tous gravés dans ma mémoire, mais ceux qui ont pris le temps de me raconter leur histoire sont ceux que je n’oublierai jamais. C’est comme Monsieur Liem, grâce à ses histoires, je me souviendrai toujours de lui.

Quand une personne ose s’ouvrir à vous, vous voulez entrer en relations avec elle. Vous voulez la supporter, devenir son ami(e), connecter avec elle.

Quand vous avez une histoire à raconter, les gens s’identifient à vous. C’est le début d’une relation

Si on n’était pas les être complexes que nous sommes, on se satisferait d’un produit ou d’un service sans se poser de questions. Mais la nature humaine est avide de belles histoires. On veut acheter un produit, mais aussi l’histoire qui est derrière. On veut pouvoir s’y identifier et en être captivé.

Si vous voulez qu’on se souvienne de vous, racontez votre histoire.

Maintenant, vous vous dites que vous n’avez pas le temps (ni le budget) d’inviter tout le monde au restaurant.

Mais vous avez le temps pour une vidéo de 2 minutes.

Comment raconter une histoire qui est captivante, engageante et qui attire les gens en seulement 2 minutes? C’est à ce moment que j’interviens 😉